Bridget Vanderpuff et la grande évasion pâtissière de Martin Stewart

Age : 9 – 12 ans
Éditeur : Pocket jeunesse
300 pages

Note : 4 out of 5 stars

Bridget, inventrice de génie, vit à l’Orphelinat pour Enfants Zégarés, tenu par l’abominable Mlle Aigrebouche.
Jusqu’au jour où elle rencontre M. Vanderpuff, l’un des meilleurs pâtissiers au monde, et décide enfin de s’enfuir, pour se réfugier chez lui. Mais alors qu’il tente de lui apprendre son art, le pâtissier découvre qu’elle est la plus extraordinaire mauvaise cuisinière qu’on puisse imaginer : chacune de ses recettes dégénère en catastrophe culinaire !
Pourtant, ces mésaventures pourraient se révéler utiles pour se défendre contre Mlle Aigrebouche, déterminée à prendre sa revanche.

Déjà trois tomes parus (au moment où j’écris cette chronique) des aventures de la truculente, malicieuse et ingénieuse Bridget Vanderpuff ! Le succès semble au rendez-vous — et il est amplement mérité.

L’histoire est très amusante et riche en rebondissements. Dès les premières pages, impossible de ne pas penser à l’univers fantasque de Roald Dahl ou à la savoureuse série La Pâtisserie Bliss. Certes, les ressorts narratifs ne sont pas particulièrement originaux, mais la lecture n’en reste pas moins agréable et divertissante.

L’univers de la cuisine occupe une belle place dans le récit. On prend autant de plaisir à découvrir les mets évoqués à chaque chapitre qu’à suivre les échecs culinaires de Bridget, souvent à l’origine d’inventions aussi surprenantes qu’ingénieuses.

Bridget est une héroïne comme j’aime les trouver dans les romans pour les jeunes lecteurs.

En fin d’ouvrage, la recette des cookies au chocolat et à la noix de coco : j’ai aussi testé et c’était délicieux !

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